C’est un des paradoxes du don, en connaître ses mécanismes pour adopter une posture est nécessaire. Par la suite, le don sera d’autant plus actif qu’il se fera oublier. Avec un peu d’habitude, nous apprenons à le solliciter pour donner valeur à nos relations puis pour ajuster notre action et nos contributions.
La situation est différente chez l’éducateur qui fait du don sa base de travail. Confronté à la complexité d’une relation éducative, il fait de l’être-ensemble et de la relationnalité ses outils de travail.
prochaine chronique le 05/11/2016