Si nous faisons le choix anthropologique de considérer que l’homme est un être de relation (qu’il faut éduquer bien sûr) avant d’être un « loup pour l’homme » (Th. Hobbes), que la pulsion de vie est première et non pas la pulsion de mort (comme le postulait Freud), alors plaçons le don appliqué aux relations comme visée d’une éthique relationnelle qu’il nous reste à découvrir quotidiennement dans sa riche complexité.
prochaine chronique 14/10/2017