Rappelons que la fragilité s’appuie sur la capacité réciproque à reconnaître que j’ai besoin de l’autre pour vivre autant que l’autre a besoin de moi pour vivre. La fragilité est relationnelle, elle s’inscrit dans la dynamique impulsée par l’enchevêtrement du donner-recevoir, elle s’exprime dans l’être-ensemble mis en mouvement par la relationnalité.
prochaine chronique courant mars : publication de l’article du « Sociographe » sur la notion d’engagement