Le don est-il conciliable avec l’autorité (3/3)

Avec les conditions énoncées dans les deux précédentes chroniques, chacun saura que les petits calculs d’intérêts dont on sait qu’ils ont un effet désastreux sur les rapports interpersonnels, ne seront pas pris en compte voire qu’ils seront fermement rejetés. Le détenteur de l’autorité sera dès lors légitime pour trancher et/ou imposer des décisions parce que celles-respecteront les caractéristiques du don. N’oublions pas enfin que la personne acquiert également de l’autorité parce qu’elle est reconnue pour ses compétences concernant les sujets sur lesquels elle est censée avoir « autorité ». Bien que n’étant pas directement associée au don, cette dernière dimension de l’autorité n’en reste pas moins un élément important.

Les chroniques de 2017 regroupées dans un document le 06 janvier 2018

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