L’éducateur va vers l’autre vulnérable, il ne cesse de le relancer, d’espérer sa mobilisation. Mais jusqu’où doit-il aller, que doit-il accepter ? Peut-il faire l’économie d’un engagement vers l’autre, jusqu’où son intervention sera-t-elle bénéfique pour l’autre, à quel moment devient-elle néfaste ? Qu’est-ce que l’éducateur est appelé à « faire » et à « partager » avec la personne ? Doit-il se confronter et jusqu’où pour lui permettre de mobiliser ses ressources ? Comment caractériser un accompagnement socioéducatif ?
La suite le 06/02/2016